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DIAPORAMA - Sous Thaïlande, Des Statues Relatives au Superhéros Dans Les Temples Bouddhistes

Le temple Wat Ta Kien, � la heure de Bangkok , accueille des statues géantes de Transformers. D'immenses statues de superhéros en métal au côté de lucide bouddhas. La spectacle surprenant qu'offrent aujourd'hui certains fanum bouddhistes en Thaïlande qui se retournent vers la modernité pour sortir du lot. C'est le cas par exemple du fanum Wat Ait Kien, � une heure de Bangkok, où un ensemble de statues monumentales de Transformers ont été ajoutées. On y voit aussi �l�ment dieu, Garuda, tenant un téléphone transf�rable � la main. AFP Pra Vichien, un un ensemble de responsables cl�rical de l'édifice. Il est un tr�s bon site que le mélange un ensemble de genres n'est pas un problème, les statues du Transformers ayant juste une vocation récréationnelle. Ces statues sortent du l'atelier d'un artiste thaïlandais, Pairoj Thanomwong, qui connaît un certain succès également � l'étranger, notamment en Europe, avec ses bronze de métal monumentales. Il a jusqu'ici déj� fourni en statues de superhéros plusieurs temples en Thaïlande, notamment dans la province d'Ayutthaya (centre), et �galement "dans �l�ment centre relatives au méditation dans la province de Chiang Rai" (nord), explique-t-il. L'artiste, lui-même bouddhiste, non voit aucun mal � voir ses créations profanes avec l'enceinte du temples. Gamin, l'artiste thaïlandais a été un collectionneur passionné de figurines relatives au héros de bandes dessinées, de Hulk � Spiderman, dont il fait aujourd'hui des versions diff�rentes monumentales, sous métal. Fort de son succès, l'artiste relatives au 43 ann�es est � la tête d'une équipe de soudeurs qui transforment des carcasses de métal en airain de divers mètres relatives au haut de sorte � certaines, pour lesquels vous trouverez il contradiction de révéler le prix de vente. vivre en thaïlande sur la pleine sessions, dans la province de Ang Thong, � une soixantaine de kilomètres de Bangkok, près de 90% du métal utilisé provient du recyclage.

Voici ce qui se trouve �tre trop souvent perçu tel une ultimatum due � une ma�onnerie ethnique laquelle provoque les résiliences, ces « blocages culturels - développement », contre lesquels les ONG et autres agences nationales se pr�sentent comme impuissantes. 20Si ce sont les Urak Lawoi laquelle participent au mieu longtemps au t�l�phone rituel, s’installant pendant 30 jours dans la ville de Phang Nga, il est néanmoins important de remarquer que la participation des nomades de mer parait �tre s’articuler concernant les Moklen. D’un côté, ce sont presque exclusivement les Urak Lawoi de nombreuses villages relatives au Sappam mais aussi Ko Sireh (ou les individus liés � eux grace aux intermariages) lequel se d�placent � Phang Nga mais aussi participent - rituel: ces villages se trouvent �tre ceux se trouvent l� pour traditionnellement liés aux Moklen, par leur proximité géographique et par de nombreuses rituels obsc�nes. Ils se trouvent �tre le point de contact entre la majorit� des Moklen et les Urak Lawoi. De l’autre côté, les Moken qui participent au rituel � Takua Pa sont ceux qui sont unis par rapport aux Moklen par des intermariages, particuli�rement � Sonn� Phra Thong, l’île qui constitue un �l�ment de contact entre les Moklen et la majorit� des Moken.

Le temps du p�riode rituel, les nœuds identitaires qui définissent les bout des espaces sociaux Moken, Moklen et Urak Lawoi se déplacent ainsi � Phang Nga, au sud, et Takua Pa, - nord, dans une mobilité rituelle qui recrée la société nomade, ses liens et ses frontières ethniques. Une fois de plus, ceci vous rappelle le mensonge de l’ancêtre Sampan qui raconte, après sa tr�pas, la fuite de Nakhorn et la persécution des mahom�tans, la séparation et la répartition du cordon entre les Moken, ces Moklen et les Urak Lawoi. Le mythe est en accord avec le us, et il est quasi-obligatoire de mentionner succinct seuls la majorit� des Moklen font la relation chez leurs origines mythiques mais aussi le rituel du dixième mois, du fait que pour les Moken et ces Urak Lawoi, bien que essentielle, leur collaboration ne semble justifiée succinct par une obligation qui entraînerait de nombreuses malheurs au cas où elle n’est pas plus longtemps honorée.

21Ainsi, � l’instar d’un théâtre grandeur terre, pendant 30 jours les interrelations sont affichées, les bout des espaces sociaux mis en inscription, comme pendant d’une pièce jouée via toutes les multitude. C’est la pièce de leur histoire, de leurs diff�rentes gammes de biens et services relations sans compter la la cosmologie qui les régit, � l’instar des performances de Manora ou relatives au Moyong laquelle rappellent en mati�re de Sud l’installation des rois et l’organisation sociale des hommes. Cette pièce, pour les Urak Lawoi, se joue sur la deux actes, la quête rituelle et le ching pret, qui seront décrits ci-dessous. 22Environ un mois qui sera suivie wan sat duean sip, la ruelle Mai de Phang Nga commence � accueillir les premiers Urak Lawoi. En règle générale, il n’y a que tantinet de familles (systématiquement du Ko Sireh et Sappam) qui demeurent en ville durant un mois, plusieurs autres effectuant des séjours diff�remment longs mais aussi alternés. Relatives au même, c’est � l’approche du wan sat qu’ils sont au mieu nombreux. Sur la général, parmi 70 � 100 personnalit�s sont présentes, atteignant jusqu’� 200 individus durant la majorit� des derniers matins.

11 Littéralement « une paire de rangées ». 23À l’arrivée, habituellement sur la moto � trois engrenage (ou sous song thaeo11) les Urak Lawoi n’ont avec eux que du matériel de cuisine (casseroles, fourneaux, couteaux, assiettes, cuillères mais aussi fourchettes, pierrier � épices). Ils s’installent sous les porches un ensemble de maisons de rue, via famille, l� où ils ont l’habitude de s’installer. Comme une l’avons mentionné, ce sont toujours les mêmes maisons qui accueillent ces mêmes tribus, et l’expression d’usage se r�v�le �tre phi nong ma laeo, « la majorit� des aînés cadets arrivent ». La ruelle est habitée exclusivement par des Sino-Thaïs d’origine hokkien en partant de la au moins diff�rent lieux générations. Les proches la plus facile a fait fortune sous vendant opium et goutte alors que la majorit� des bateaux pouvaient encore arriver jusqu’� l’emplacement actuel de la rue, valeur qu’un pont soit �lev� dans les années 1940 pour le transport de l’étain. Auparavant la construction de ce pont, les Urak Lawoi atteignaient en voilier et somnolaient � l’embarcadère, qui était couvert. L’évolution de la proximit� entre �l�ment segment des fran�ais d’origine chinoise et ces Urak Lawoi reflète cette perpétuation, sur la dépit des processus économiques qui intéressent la région, d’une relation traditionnelle importante dans l’expression des dynamiques ethnorégionales.



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